Pour qui ?
Sébastien EGRET
Technique Alexander®
Rééducation du comportement postural
L'apprentissage d'une meilleure utilisation du corps au quotidien
À Crolles, à Theys ou en ligne (visioconférence)
☎ 06 42 13 45 45
✉️ sebastienegret@yahoo.fr
A qui la technique Alexander s'adresse-t-elle ?
La technique Alexander a une vocation préventive. Elle permet à chacun d'optimiser l'usage global de son organisme afin d'éviter certains troubles en apparence localisés et d'améliorer le fonctionnement. Si des troubles ou des défauts d’exécution dans une une activité sont déjà présents, il ne s'agit pas d'apporter de solution directe à ceux-ci mais de travailler sur l'usage global de soi pour voir ceux-ci diminuer ou disparaître de manière indirecte. Cette technique ne se substitue pas à un diagnostic ou un soin médical pour un trouble spécifique. Elle a un effet curatif grâce à la réduction des pressions excessives exercées sur la colonne vertébrale, les articulations, les organes (coeur, poumons, estomac, intestins, etc) qui nuisent à leur fonctionnement. Ceci permet d'être plus performant, plus efficace dans toute activité.
Cette technique aide, de manière indirecte, les personnes souffrant de maux chroniques ou de troubles de fonctionnement causés ou amplifiés par un mauvais usage comme :
Les troubles musculo-squelettiques : maux de dos chroniques (lombalgie, dorsalgie), cervicalgie chronique, arthrose, sciatique, rhumatismes, ankylose des épaules, torticolis, scolioses, maux de tête, migraines, tendinites, syndrome du tunnel carpien.
Plus de détails :
Les troubles respiratoires chroniques (rhinites allergiques, asthme, bronchite, bronchopneumopathie chronique obstructive [BPCO])
Plus de détails :
Les troubles occasionnés par la maladie de Parkinson, le tremblement essentiel ou la maladie d'Alzheimer
Plus de détails :
Mais aussi :
les troubles occasionnés par le Syndrome d’Ehlers-Danlos (hypermobilité), les ulcères et autres troubles digestifs, certains troubles cardiaques, hypertension, le syndrome prémenstruel
Le bruxisme, la dyslexie, dyspraxie, le bégaiement, les troubles de l'attention
L'anxiété, la dépression, les troubles du sommeil
Elle s'adresse :
Aussi bien aux adultes qu'aux enfants et aux adolescents dans un souci de prévention des risques liés à un usage inapproprié et aussi afin de leur permettre de réaliser leur potentiel.
Plus de détails :
Aux personnes en convalescence ou rééducation à la suite d'une maladie, d'un accident ou d'une opération en complément des méthodes habituelles.
Aux personnes âgées pour améliorer la mobilité, l'équilibre, diminuer les risques de chute.
Aux personnes ayant des troubles du spectre de l’autisme (TSA) pour les aider dans leur développement, leur autonomie, leur intégration.
Aux femmes enceintes qui trouvent avec cette technique des outils précieux afin par exemple de prévenir des maux de dos pendant la grossesse mais aussi de faciliter l'accouchement.
Certains physiothérapeutes ou kinésithérapeutes utilisent la Technique Alexander comme complément à leurs outils de rééducation musculo-squelettique.
La Technique est enseignée dans des :
Etablissements d'enseignement (à tout âge) qui souhaitent donner un outil essentiel de développement à leurs élèves ce qui les inclut les établissements d'enseignement artistiques. La Technique Alexander fait partie intégrante de l'enseignement offert dans plusieurs universités et conservatoires dans le monde,
Des hôpitaux et cliniques pour ce qui concerne la rééducation ou la prise en charge de la douleur.
Entreprises et collectivités qui souhaitent s'orienter vers une démarche de prévention vis à vis de leur personnel.
Quelque soit le but pour apprendre la technique Alexander, le travail passe toujours par un travail de rééducation global dont la base est l'utilisation adéquate du contrôle primaire (l'équilibre primordial entre la tête, le cou, le tronc et les membres).
La technique Alexander s'adresse également aux personnes engagées dans une démarche de développement personnel. Puisque cette technique permet d'améliorer notre usage et que l'usage conditionne notre fonctionnement, on se rend compte au fur et à mesure des leçons que beaucoup d'aspects s'améliorent indirectement même si on ne soupçonnait pas qu'ils puissent être améliorés (la vision, le recul, la résistance face aux situations stressantes par exemple).